L’autosabotage : ce terme revient sans cesse dans le dĂ©veloppement personnel depuis des annĂ©es.

 

C’est un sujet beaucoup de gens qui veulent plus de bonheur, plus d’argent, une meilleure santĂ©, une meilleure vie.

 

Malheureusement pour eux, il y a cet auto-sabotage permanent qui les empĂªche d’accomplir leurs rĂªves et d’Ăªtre vraiment Ă©panoui dans leur vie.

 

Comment faire ?

 

Et si la réalité était plus complexe que ça ?

 

La notion mĂªme d’auto-sabotage induit l’idĂ©e d’un ennemi Ă  l’intĂ©rieur de nous.

 

Tu peux te légitimement te poser ces questions :

 

Qu’est-ce que l’auto-sabotage ?

Ce concept est-il si pertinent ?

Quelle réalité profonde cache-t-il ? 

Y a-t-il un lien avec l’enfance ?

Comment s’en libĂ©rer ?

 

Attention cet article risque de bousculer tes croyances sur le sujet.

L'auto-sabotage : de quoi on parle ?

Avant d’entrer en profondeur, commençons par ce qui est dit par le courant classique de psychologie et de dĂ©veloppement personnel.

Selon l’auteur, l’auto-sabotage consiste Ă  faire quelque chose de malsain pour soi-mĂªme, oĂ¹ l’on se nuit et pourtant qu’on ne peut pas s’empĂªcher de faire, que ce soit dans la famille, dans les relations, dans le travail ou la santĂ©.

Cela serait une forme d’auto-destruction.

L’individu se met en Ă©chec par des comportements ou actions dont il ne se rend pas compte.

 

C’est le plus souvent inconscient, jusqu’Ă  ce que la personne remarque la boucle Ă  force d’auto-observation ou parce qu’un ami lui fait remarquer.

 

L’auto-sabotage peut prendre de multiples formes :

Procrastination : inertie par rapport Ă  l’avancement d’un projet, voire inachèvement. Cela peut prendre la forme du syndrome de l’objet brillant.

– Perfectionnisme : se perdre dans les dĂ©tails et le jusquauboutisme qui parasite l’atteinte d’un objectif

– Oubli : oublier de faire une action importante

– Acte manquĂ© : poser une action qui a manquĂ© l’objectif visĂ© et qui accomplit un objectif inconscient.

– Faire quelque chose qui nuirait Ă  un projet, Ă  une relation, au travail, Ă  la famille

Effectivement, quand on regarde au premier degrĂ© de type d’auto-sabotage, on peut penser Ă  quelqu’un qui veut se nuire, se punir.

Parmi les causes Ă  l’auto-sabotage, on entend classiquement :

– Les croyances limitantes et le syndrome de l’imposteur

– Les pensĂ©es nĂ©gatives et rĂ©currentes

– Une faible estime de soi, manque de confiance en soi, honte d’Ăªtre soi

– La peur de l’Ă©chec, du changement, de l’inconnu

– La peur de ne pas Ăªtre Ă  la hauteur

 

Qu’on soit clair : je ne valide absolument pas cette vision archaĂ¯que du psychisme humain, tout “blocage” Ă©tant bien plus complexe que cela.

 

Tu connais dĂ©sormais le point de vue dominant, consistant Ă  considĂ©rer l’auto-sabotage comme un manque d’estime, avec une croyance limitante sous-jacente et avec une partie qui cherche Ă  nous punir…

Pour ma part, il y a un goĂ»t trop salĂ© qui ne me satisfait pas sur ce sujet, alors j’ai creusĂ©.

Personnellement, j’avais un scĂ©nario rĂ©pĂ©titif consistant Ă  dĂ©marrer un projet puis l’arrĂªter dès que ça commence Ă  avoir du succès et j’ai compris bien après que ça allait beaucoup plus profond que cette lecture superficielle des choses.

Bref, il est temps d’arrĂªter de parler d’auto-sabotage et de creuser car le sujet qui se cache derrière est absolument riche et passionnant.

De l'étiquette à la cause profonde

Désolé pour ton autosabotage, c'est sans espoir...

L’auto-sabotage est une Ă©tiquette, un diagnostic posĂ©.

Il y a un comportement (soigner les dĂ©tails au poil de cul, par exemple) ou un non comportement (esquiver la dĂ©claration comptable, par exemple), et avec notre ego nous l’Ă©tiquetons : perfectionnisme dans le premier cas, procrastination dans le second.

 

Si la rĂ©alitĂ© est en dĂ©saccord avec la volontĂ© de l’ego (l’objectif), alors on parle d’auto-sabotage.

Le problème de l’Ă©tiquette, c’est qu’elle crĂ©e quelque chose de toute pièce, ex nihilo.

 

Dans la santĂ© et la psychologie, sont apparus de nombreux termes : orthorexie, pervers narcissique, augmentalisme, nomophobie, syndrome du cĂ´lon irritable, hypersensibilitĂ©…

 

Des concepts fourre-tout, subjectifs, rarement étayés scientifiquement (et que presque personne ne questionne), qui cherchent à décrire un phénomène et cristallisent le vivant dans ces termes sclérosants.

 

Ces concepts appuient l’idĂ©e d’un dysfonctionnement, de quelque chose qui cloche chez l’humain.

 

Il y a l’idĂ©e d’une norme Ă  laquelle on devrait TOUS coller.

Et si tu ne colles pas Ă  cette norme, tu es dysfonctionnel : c’est un classique dès la plus tendre enfance (si t’as le malheur d’apprendre Ă  parler un peu tard par rapport aux autres…).

Tu es hypersensible (quelle est la norme de la sensibilitĂ© ?), tu es orthorexique (quelle est la norme du comportement alimentaire ?), tu penses trop (par rapport Ă  quoi ?). Qui dĂ©cide de ces normes ? C’est arbitraire. Absurde.

 

Comment créer une pathologie ?

Tu prends des critères, tu les Ă©tiquettes comme un problème et tu dĂ©cides arbitrairement d’une pathologie correspondante : typique pour les termes “pervers narcissique”, “trouble de l’attention” et “cĂ´lon irritable” par exemple.

Ensuite tu peux l’ajouter au DSM-5 (la bible des psychiatres) qui est d’ailleurs extrĂªmement critiquĂ©e pour l’invention d’un tas de nouveaux troubles, crĂ©ant au passage de nombreux malades Ă  traiter.

Dès que tu creuses un peu ces sujets, tu tombes sur un vide abyssal et une rĂ©alitĂ© beaucoup plus complexe et nuancĂ©e (comme d’hab…).

 

La vie se fiche des normes, elle évolue, impalpable, insaisissable.

 

Pour notre sujet du jour, l’auto-sabotage, il y a une norme pas toujours conscientisĂ©e (d’oĂ¹ sa perversitĂ©) : 

Tu dois passer Ă  l’action, agir toujours avec intensitĂ©, dans le bon sens, sans peur, sans doute… Et si, Ă” malheur, tu ne le fais pas, c’est que tu as un auto-sabotage !

 

L’autosabotage est un mot pathologisant et extrĂªmement nĂ©gatif posĂ© sur un phĂ©nomène beaucoup plus vivant et profond qu’on l’imagine au premier abord.

 

 

L’autosabotage est quand mĂªme empruntĂ© au champ lexical de la guerre, il symbolise la lutte intĂ©rieure : cela montre bien le paradigme dans lequel on est…

(tu peux aussi penser aux mots employĂ©s en mĂ©decine : “arsenal thĂ©rapeutique”, “invasion”, “anticorps”, “dĂ©fenses immunitaires”, “bactĂ©ries rĂ©sistantes”, “lutter contre la maladie”… le langage est souvent riche d’indices)

 

On aurait un saboteur intérieur qui ferait tout rater, carrément.

Si seulement on avait plus de confiance, d’estime de soi, des meilleures croyances… Pas de bol hein ?

 

On en est là ? Sérieusement ?!

C’est ça la psychologie du XXIème siècle ?!

Et si cette vision dualiste était dépassée ?

 

Dans cet article, je te propose une vision un peu plus nuancĂ©e qu’un Dark Vador en toi qui veut te nuire…

Autosabotage : fonctionnement ou dysfonctionnement ?

 

Dans les comportements humains il n’y a pas de dysfonctionnement, il n’y a que des fonctionnements.

 

Il y a seulement des stratĂ©gies du système pour maintenir son Ă©quilibre, c’est une loi de la vie : l’homĂ©ostasie. 

 

 

L’Ăªtre humain est paradoxal, ça n’a rien de nouveau :

– Combien de gens dĂ©clarent vouloir la bonne santĂ© et fumer comme des pompiers ?

– Combien dĂ©clarent vouloir vivre de leur activitĂ© et passer leur journĂ©e Ă  regarder YouTube ?

– Combien passent leur temps Ă  se battre contre l’injustice (ou la violence/la connerie/l’Ă©vasion fiscale…) et la crĂ©er eux-mĂªmes dans leur quotidien ?

 

Nous avons en nous diffĂ©rentes Ă©nergies qui ne sont pas toujours d’accord.

La plupart des gens sont morcelés, avec des parties qui sont en lutte voire en guerre.

 

Derrière l’autosabotage se cache quasi-systĂ©matiquement ce schĂ©ma :

 

– Une partie de toi veut passer Ă  l’action massivement, gagner beaucoup d’argent et avoir un corps musclĂ©.

– Une autre partie de toi veut se toucher la nouille sur le canapĂ©, vivre d’amour et d’eau fraĂ®che et prĂ©fère la crème glacĂ©e Ă  la salle de sport.

 

(Ă©videmment, je connais très bien ces thĂ©matiques, c’est du vĂ©cu)

 

Ce n’est pas un problème ou quelque chose Ă  rĂ©parer.

 

Cette lutte entre deux parts de nous est un simple révélateur.

Pourquoi vouloir taper dessus ?

 

Au contraire, cette “rĂ©sistance” est une bĂ©nĂ©diction car elle fait Ă©merger une partie de toi.

 

Prenons un exemple personnel : la peur de réussir. 

 

Depuis des annĂ©es, je lance des projets, je les mène avec succès et ça m’enthousiasme.

Puis, je dĂ©laisse le projet et finis par l’arrĂªter complètement pou partir sur un nouvel objectif.

Alors que ça marchait !

 

Consciemment je trouve des bonnes raisons pour le faire : ce projet ne me parle plus, j’ai besoin de nouveautĂ©, j’aspire Ă  autre chose qui fait du sens…

 

Puis Ă  force d’observation et grĂ¢ce Ă  un ami, je suis tombĂ© sur la racine du scĂ©nario de vie.

Au plus je rĂ©ussissais, au plus il y avait la peur effroyable d’Ăªtre vu en situation d’Ă©chec.

 

En rĂ©alitĂ© c’est mĂªme au-delĂ  de la peur, il y avait un évitement compulsif d’Ăªtre vu en situation d’Ă©chec Ă  un haut niveau de rĂ©ussite.

 

Ce n’Ă©tait pas concevable pour mon ego, c’est donc totalement proscrit.

VoilĂ  pourquoi c’Ă©tait un Ă©vitement compulsif pour moi : je faisais TOUT pour ne pas vivre ça, sans m’en rendre compte.

 

Quand j’en parlais autour de moi, les gens me parlaient d’auto-sabotage : “Ah Fabien, ça c’est un autosabotage.”

 

Et je répondais à chaque fois :

 

“Noooon ! Il n’y a pas d’autosabotage, il n’y a que des autoprotections.”

 

L’autosabotage, ça n’existe pas. Cela revient Ă  une vision archaĂ¯que oĂ¹ l’inconscient fait sa loi et est contre nous, contre le changement.

 

En réalité, derrière le terme autosabotage se cache une réalité émotionnelle très souvent méconnue :

 

De la peur.

Une trouille immense.

Il y a mĂªme très probablement un Ă©vitement compulsif (cf l’ennĂ©agramme)

 

Ainsi, par un comportement d’Ă©vitement, je me protège de ce qui risquerait de mettre en pĂ©ril l’Ă©quilibre de mon système.

 

Il y a une intention sous-jacente de préservation, de bienveillance.

VoilĂ  pourquoi le terme d’auto-sabotage est rĂ©ducteur et dangereux.

 

Il colle une image nĂ©gative et toxique du rapport Ă  soi-mĂªme.

Mais RIEN ne nous veut du mal Ă  l’intĂ©rieur de nous : il n’y a ni ennemi, ni saboteur.

 

Il y a simplement des parties mal aimĂ©es de nous qui cherchent de l’amour et de l’attention, comme les enfants turbulents. 

 

Alors le système se protège lui-mĂªme, comme il le fait en crĂ©ant une contracture sur un muscle lĂ  oĂ¹ il y a de la souffrance.

 

Traiter l’autosabotage comme un ennemi, c’est traiter la contracture comme un ennemi, alors que c’est une stratĂ©gie inconsciente ayant 3 rĂ´les :

1/ Un révélateur : elle révèle une part inconsciente de soi.

2/ Une protection : pour maintenir l’intĂ©gritĂ© du système et Ă©viter de te confronter Ă  ce qui serait trop dangereux pour l’ego (l’Ă©chec dans mon cas).

3/ Un indicateur : cela indique qu’il y a un enjeu fort, une zone de tension importante.

 

 

L’auto-protection se retrouve très souvent dans un de ces 2 cas :

– Soit parce que tu t’obliges Ă  quelque chose qui n’est pas Ă©cologique venant d’une injonction, d’un fantasme : “je dois faire un business en ligne”, “il faut que j’avance sur ce projet”… Et au fond t’as juste pas envie.

 

– Soit parce qu’il y a de fortes Ă©motions associĂ©es Ă  un enfant terrorisĂ© Ă  l’intĂ©rieur. De la peur, de la peur et encore de la peur. 

 

 

Et classiquement, qu’est-ce qu’on fait pour rĂ©soudre Ă  tout prix l’autosabotage ?

Les fameuses techniques pour arrĂªter de s'auto-saboter

“En finir avec l’autosabotage.”

“Eradiquer les croyances limitantes.”

“Sortir du syndrome de l’imposteur 

On est dans le mĂªme dĂ©lire que “contrĂ´ler ses Ă©motions”.

 

On veut mettre un couvercle sur soi-mĂªme, se sculpter selon le fantasme qu’on a de soi-mĂªme, ayant encore des objectifs sur ce qu’on devrait Ăªtre ou ne pas Ăªtre…

 

Incapables de se prendre tels qu’on est, on veut coller Ă  un idĂ©al.

 

Tu vois quelque chose que tu n’aimes pas chez toi (addiction au sucre ou aux Ă©crans, procrastination sur ton projet, difficultĂ© Ă  te rĂ©veiller le matin, pas de planification de tes journĂ©es…) et tu veux Ă  tout prix une solution.

 

C’est lĂ©gitime : on passe tous Ă  un moment donnĂ© par cette Ă©tape.

 

Et on cherche toutes les approches possibles pour résoudre le problème :

– Hypnose et auto-hypnose

– EFT

– PNL

– Coaching

 

Quand ce n’est pas de la thĂ©rapie quantique, de la lithothĂ©rapie, du Reiki ou que sais-je encore.

 

Beaucoup de gens sont obsĂ©dĂ©s par la technique, l’outil, leur objectif et sont complètement aveugle Ă  leur propre intention :

 

Se couper encore un peu plus d’eux-mĂªmes.

 

C’est concrètement ce qui se passe lorsque tu cherches Ă  Ă©radiquer un comportement chez toi.

Quelle que soit la technique.

 

Pourquoi cette virulence envers soi-mĂªme ?

 

Parce que tu crois que tu as un problème, que tu es dysfonctionnel, que quelque chose cloche chez toi, pare que tu ne colles pas à ce qu’on attend de toi.

(d’oĂ¹ les termes d’autosabotage, de croyance limitante & co)

 

Attention, voilĂ  un scoop : c’est faux. 

Tu n’es pas un problème Ă  rĂ©soudre : tes comportements, tes pensĂ©es, tes Ă©motions, ne sont PAS un problème.

Tes Ă©ducateurs t’ont peut-Ăªtre fait croire que tu avais un problème dans l’enfance. Il est clair que beaucoup de blocages prennent naissance dans notre enfance car ils se cristallisent sous forme d’Ă©motions rĂ©primĂ©es que l’on traĂ®ne toute notre vie tant qu’on ne leur fait pas face.

 

Simplement, une partie de toi revient Ă  la conscience (par le comportement non dĂ©sirĂ©) et tu n’en as pas envie parce qu’Ă  cet endroit, tu ne t’aimes pas.

Tu n’aime pas la feignasse en toi, l’artiste, l’enfant triste…

 

Ok il y a un manque d’amour, et après ?

Se libérer de l'autosabotage ?

Tu l’as bien compris, l’autosabotage cache une rĂ©alité beaucoup plus profonde.

C’est un terme bateau qui induit la croyance qu’on a un ennemi Ă  l’intĂ©rieur de nous et qui nous tire dans les pattes pour atteindre nos objectifs.

ForcĂ©ment, quand on a un ennemi Ă  l’intĂ©rieur de nous, on a envie de l’annihiler.

 

Or, l’autosabotage est en rĂ©alitĂ© une auto-protection qui est lĂ  pour maintenir l’Ă©quilibre de notre système.

Il s’agit plutĂ´t de le remercier plutĂ´t que de vouloir l’Ă©radiquer…

 

Dans tous les cas, la clĂ© n’est PAS le passage en force Ă  coup d’hypnose ou de coaching, au risque de dĂ©placer le symptĂ´me, de rĂ©primer encore plus cette part de soi et de crĂ©er des consĂ©quences dĂ©sastreuses.

 

Pour t’en libĂ©rer, il s’agit de faire appel au processus C.L.É., comme pour tout ce dont on parle sur Epanessence :

1/ Connaissance de soi : par l’ennĂ©agramme entre autre. 

 

Il s’agit d’identifier la part de toi Ă  l’origine du symptĂ´me, de la comprendre, de l’Ă©couter. C’est l’Ă©tape de l’honnĂªtetĂ© envers soi, oĂ¹ tu fais face Ă  la rĂ©alitĂ©.

La méditation aide aussi à te voir tel que tu es.

 

2/ Libération de soi : par la libération émotionnelle.

Il s’agit d’Ăªtre en prĂ©sence de cette partie de toi et de laisser remonter ce qui a besoin de remonter. C’est typique de la mĂ©thode NERTI par exemple.

Pas besoin de visualisation, d’hypnose ou de je ne sais quoi. 

Tu es en accès direct puisque c’est TOI.

Il y a “juste” Ă  ressentir et Ă  accueillir depuis un espace de prĂ©sence (ça peut Ăªtre très dur pour certains comme moi). Il n’y a pas de “comment”.

 

Si rien ne se passe, si tu n’as pas accès, c’est l’auto-protection est probablement trop forte et ne veut pas te laisser passer, pour protĂ©ger le système.

Preuve de trop de violence contre toi-mĂªme.

 

3/ Expression de soi : par la voix, par l’action.

C’est la phase de passage Ă  l’action, de lancement de projet, mais ce n’est que la cerise sur le gĂ¢teau qui ne se substitue pas aux 2 premières phases.

 

Si tu constates que tu n’arrives pas Ă  accĂ©der Ă  cette part de toi, tu peux te faire aider, consulter un thĂ©rapeute ou psychologue spĂ©cialisĂ© ou prendre directement RDV avec moi pour faire un Bilan de personnalité afin de rĂ©aliser la première Ă©tape.

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